Seconds used to be longer exists in two versions:
a performance for galeries and public spaces.
an interactive school show.
A theatrical and philosophical performance in movements, inviting the audience to participate and, chose how to use their time.
Through questions, the piece provokes thoughts about what time is worth and how we chose to spend that value. Is it something that we share, that we even accept to give away for free?
How much does two minutes costs?
Who would buy seven secondes of true lies?
I sell four minutes of breathing
I sell seven seconds of futur
Choreography, direction and texts : Michaela Meschke
Performers: Marie Chassot & Cédric Poirot
Photography : Laercio Redondo, Thomas Ozoux
Elle collabore avec de nombreux chorégraphes et metteurs en scène : Cécile Lassonde, Cie Bis Itinéraire, Emmanuel Houzé, Ruth Uscalovsky, Jeffrey Bracco, Olivier Boréel, François Roche, Cécile Messineo et Fanny Gayard. Elle collabore avec le Théâtre de Marionnettes de Suède sur plusieurs créations.
La transmission allant de paire avec la création, Michaela s’investit auprès de différents publics, notamment les enfants et les jeunes. Elle intervient régulièrement dans les formations d’éducateurs sociaux : l’IRTS, l’EFPP et l’ENS. Elle enseigne aux Conservatoires Municipaux depuis 2013, de l’initiation jusqu’au troisième cycle.
Depuis 2020, elle est soutenue par La Fabrique de la Danse et participe à de nombreux projets dont Impulsion, un collectif de chorégraphes œuvrant à l'impact social.
En 2024 elle crée et dirige Hydra Dance Days, un festival international qui a lieu en Grèce, sur l'ile de Hydra chaque année.
En 2000 elle crée la compagnie Moveo, une compagnie pluridisciplinaire mêlant danse, mouvement, théâtre, marionnettes et arts plastiques, dans des créations pour adultes, jeunes public et l’espace public. Certaines questions traversent son œuvre en continue : l'utilisation des espaces et le partage avec le public. Chaque lieu est interrogé pour devenir un outil, un carrefour, une occasion de rencontre. Les lieux publics sont investis pour y créer un tumulte, une expérience en commun où le public peut s’approprier le propos, comme s’il lui était personnellement adressé.