Papermen est crée pour l'exposition de sculptures "Femmes sans papiers" de Monika Meschke.
Dans cet univers de femmes intemporelles (les sculptures), apparaissent trois hommes, en costumes, venant d'un monde rigide et sans exceptions. Ils ne veulent rien savoir de l'autre et exercent leur pouvoir jusqu'à en abuser. Une vraie femme entre dans leur monde et met les règles en cause.
Dansens Hus, Stockholm
Scandia scenen, Uppsala
Studio Le Regard du Cygne, Paris
Cloître de Billettes, Paris
TIM, Charleville Mezière
Chorégraphie: Michaela Meschke
Interprètes: Thomas Degas, Loic, Michaela Meschke, Clérmont Pithan
Sculptures: Monika Meschke
Création musicale : Laure Milena
https://soundcloud.com/laure-milena
Photographie: Jean Paul de Septenville
Elle collabore avec de nombreux chorégraphes et metteurs en scène : Cécile Lassonde, Cie Bis Itinéraire, Emmanuel Houzé, Ruth Uscalovsky, Jeffrey Bracco, Olivier Boréel, François Roche, Cécile Messineo et Fanny Gayard. Elle collabore avec le Théâtre de Marionnettes de Suède sur plusieurs créations.
La transmission allant de paire avec la création, Michaela s’investit auprès de différents publics, notamment les enfants et les jeunes. Elle intervient régulièrement dans les formations d’éducateurs sociaux : l’IRTS, l’EFPP et l’ENS. Elle enseigne aux Conservatoires Municipaux depuis 2013, de l’initiation jusqu’au troisième cycle.
Depuis 2020, elle est soutenue par La Fabrique de la Danse et participe à de nombreux projets dont Impulsion, un collectif de chorégraphes œuvrant à l'impact social.
En 2024 elle crée et dirige Hydra Dance Days, un festival international qui a lieu en Grèce, sur l'ile de Hydra chaque année.
En 2000 elle crée la compagnie Moveo, une compagnie pluridisciplinaire mêlant danse, mouvement, théâtre, marionnettes et arts plastiques, dans des créations pour adultes, jeunes public et l’espace public. Certaines questions traversent son œuvre en continue : l'utilisation des espaces et le partage avec le public. Chaque lieu est interrogé pour devenir un outil, un carrefour, une occasion de rencontre. Les lieux publics sont investis pour y créer un tumulte, une expérience en commun où le public peut s’approprier le propos, comme s’il lui était personnellement adressé.